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L'Armée internationale de la paix ?
L'armée de terre cuite de Xian en Chine est la pierre d'achoppement du projet des Soldates de la Paix.
L’empereur Qin avait, il y a plus de deux milles ans, une armée de réelle de Soldats de 1,000,000 d’hommes. J’ai donc pensé faire la contrepartie de cette armée et inviter un million de personnes à s’enrôler dans une armée de paix. Bien que le mot Soldate est féminin, il fait appel à l’essence féminine qui nous habite tous. Que nous soyons hommes, femmes ou enfants nous pouvons tous devenir une Soldate de la Paix.
L'objectif est d'honorer le principe féminin en nous et appliquant dix et ainsi honorer l’essence féminine en eux afin de contribuer à équilibrer les énergies sur terre.
En observant et en réfléchissant à ce qui se passe dans le monde et à ce qui se passe dans ma vie, j’ai constaté qu’il y avait un déséquilibre entre l’essence masculine et féminine et que cet état créait la guerre. Il y a, à mon avis, dans nos sociétés une promotion de l’essence masculine tellement grande que de l’autre côté nous avons presque perdu le sens du féminin en nous et nous nous sentons quelquefois coupable même de l’écouter.
À ma façon, je comprends ses deux essences à travers le cycle des saisons. La nature est pour moi une grande œuvre qui m’éclaire toujours. Quand on observe les saisons, on voit qu’il y a des forces féminines et masculines qui régissent le cycle de la vie.
Au printemps, l’énergie bat son plein. Les bourgeons arrivent et la vie pousse. L’action, principe masculin est en vie. Comparons cela à une idée de projet. On veut se construire une maison. On est excité, on apporte des idées, on fait des plans. Arrive l’été, le bourgeon devient un fruit et donne toute son énergie à se fabriquer.
On s’installe et nous construisons la maison. L’action est en pleine expansion et se réalise.
La réalisation, l’action, le tangible, la production sont les éléments promus et valorisés dans nos sociétés et si nous voulons en faire partie nous devons suivre le courant. Donc, après avoir construit notre maison nous retournons au printemps pour une autre idée qui nous amènera très vite à un autre été et un autre printemps et ainsi de suite…après quelques années de cette course on est exténué, brûlé et souvent on s’écroule.
Nous avons oublié de passé aux saisons d’énergie féminine : L’automne et l’hiver.
L’automne est le moment de la récolte, de l’Action de Grâce, dire merci et commencer à entendre le silence. C’est le moment de se dire merci pour ce que nous avons accompli, dire merci à la vie pour ce qu’elle nous offre. Prendre le temps de s’asseoir et d’apprécier le travail accompli.
Ensuite vient l’hiver, qui est le temps de l’hibernation, de l’intériorisation, le temps d’arrêt et du « ne rien faire » qui, en fait, est de laisser faire l’invisible. La petite graine dans la terre qui meure dans sa noirceur et ne sait peut-être pas qu’elle va revenir à la vie mais, elle attend, silencieusement et laisse l’univers s’occuper d’elle. Comme l’enfant que porte la mère. Pendant neuf mois elle va porter ce bébé et tout ce qu’elle peut faire c’est de laisser faire. Elle ne peut pas se mettre à travailler à confectionner l’enfant, l’univers s’en charge. C’est son travail. Ce n’est pas parce que la mère ne fait rien que rien ne se passe. Une des plus belles merveilles du monde va apparaître et à ce moment-là la mère va travailler et se mettre dans son énergie masculine pour donner la vie.
Après chaque hiver il y a un printemps et c’est bien parce qu’il y a un hiver qu’il y a un printemps. Toutes les saisons sont reliées l’une à l’autre pour assurer la vie. Cependant, dans nos sociétés, tout ce qui est de l’invisible, de l’attente, du recevoir, du silence, de la gratitude sont des éléments très peu valoriser. Alors on perd le sens du sacré et du chemin à suivre pour trouver l’harmonie. Le dedans nous crie et nous n’écoutons plus. Trop habituer à notre routine et à courir après on ne sait plus quoi et nous finissons, tôt ou tard, par s’effondrer et c’est quelquefois là que le miracle arrive…On recommence à contacter cette petite voix qui veut se faire entendre. Allons-nous avoir le courage de l’écouter et d’agir en sa faveur?
L’Armée Internationale de la Paix, fait appel au principe féminin en nous, afin de lui donner une chance de reprendre sa place dans le monde et de retrouver une harmonie.
Une personne à la fois, hommes, femmes, enfants nous pouvons changer le monde. C’est à chacun de nous de s’engager à faire le chemin. Devenons une Soldate de la Paix afin d’aider l’humanité à continuer sa route.
L'armée de terre cuite de Xian en Chine est la pierre d'achoppement du projet des Soldates de la Paix.
L’empereur Qin avait, il y a plus de deux milles ans, une armée de réelle de Soldats de 1,000,000 d’hommes. J’ai donc pensé faire la contrepartie de cette armée et inviter un million de personnes à s’enrôler dans une armée de paix. Bien que le mot Soldate est féminin, il fait appel à l’essence féminine qui nous habite tous. Que nous soyons hommes, femmes ou enfants nous pouvons tous devenir une Soldate de la Paix.
L'objectif est d'honorer le principe féminin en nous et appliquant dix et ainsi honorer l’essence féminine en eux afin de contribuer à équilibrer les énergies sur terre.
En observant et en réfléchissant à ce qui se passe dans le monde et à ce qui se passe dans ma vie, j’ai constaté qu’il y avait un déséquilibre entre l’essence masculine et féminine et que cet état créait la guerre. Il y a, à mon avis, dans nos sociétés une promotion de l’essence masculine tellement grande que de l’autre côté nous avons presque perdu le sens du féminin en nous et nous nous sentons quelquefois coupable même de l’écouter.
À ma façon, je comprends ses deux essences à travers le cycle des saisons. La nature est pour moi une grande œuvre qui m’éclaire toujours. Quand on observe les saisons, on voit qu’il y a des forces féminines et masculines qui régissent le cycle de la vie.
Au printemps, l’énergie bat son plein. Les bourgeons arrivent et la vie pousse. L’action, principe masculin est en vie. Comparons cela à une idée de projet. On veut se construire une maison. On est excité, on apporte des idées, on fait des plans. Arrive l’été, le bourgeon devient un fruit et donne toute son énergie à se fabriquer.
On s’installe et nous construisons la maison. L’action est en pleine expansion et se réalise.
La réalisation, l’action, le tangible, la production sont les éléments promus et valorisés dans nos sociétés et si nous voulons en faire partie nous devons suivre le courant. Donc, après avoir construit notre maison nous retournons au printemps pour une autre idée qui nous amènera très vite à un autre été et un autre printemps et ainsi de suite…après quelques années de cette course on est exténué, brûlé et souvent on s’écroule.
Nous avons oublié de passé aux saisons d’énergie féminine : L’automne et l’hiver.
L’automne est le moment de la récolte, de l’Action de Grâce, dire merci et commencer à entendre le silence. C’est le moment de se dire merci pour ce que nous avons accompli, dire merci à la vie pour ce qu’elle nous offre. Prendre le temps de s’asseoir et d’apprécier le travail accompli.
Ensuite vient l’hiver, qui est le temps de l’hibernation, de l’intériorisation, le temps d’arrêt et du « ne rien faire » qui, en fait, est de laisser faire l’invisible. La petite graine dans la terre qui meure dans sa noirceur et ne sait peut-être pas qu’elle va revenir à la vie mais, elle attend, silencieusement et laisse l’univers s’occuper d’elle. Comme l’enfant que porte la mère. Pendant neuf mois elle va porter ce bébé et tout ce qu’elle peut faire c’est de laisser faire. Elle ne peut pas se mettre à travailler à confectionner l’enfant, l’univers s’en charge. C’est son travail. Ce n’est pas parce que la mère ne fait rien que rien ne se passe. Une des plus belles merveilles du monde va apparaître et à ce moment-là la mère va travailler et se mettre dans son énergie masculine pour donner la vie.
Après chaque hiver il y a un printemps et c’est bien parce qu’il y a un hiver qu’il y a un printemps. Toutes les saisons sont reliées l’une à l’autre pour assurer la vie. Cependant, dans nos sociétés, tout ce qui est de l’invisible, de l’attente, du recevoir, du silence, de la gratitude sont des éléments très peu valoriser. Alors on perd le sens du sacré et du chemin à suivre pour trouver l’harmonie. Le dedans nous crie et nous n’écoutons plus. Trop habituer à notre routine et à courir après on ne sait plus quoi et nous finissons, tôt ou tard, par s’effondrer et c’est quelquefois là que le miracle arrive…On recommence à contacter cette petite voix qui veut se faire entendre. Allons-nous avoir le courage de l’écouter et d’agir en sa faveur?
L’Armée Internationale de la Paix, fait appel au principe féminin en nous, afin de lui donner une chance de reprendre sa place dans le monde et de retrouver une harmonie.
Une personne à la fois, hommes, femmes, enfants nous pouvons changer le monde. C’est à chacun de nous de s’engager à faire le chemin. Devenons une Soldate de la Paix afin d’aider l’humanité à continuer sa route.